Et si on se remettait à parler d’art contemporain ou mieux : des arts contemporains ? Mais attention pas de la toujours énorme production d’œuvres d’art relevant de l’esthétique (1). Non, des arts contemporains qui s’écartent de l’esthétique – voire s’en débarrassent – et répondent plutôt à la définition donnée par le philosophe Christian Ruby dans un livre publié en 2007 aux éditions du Félin : Devenir contemporain ? La couleur du temps au prisme de l’art.
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